GUINEE- Mise en garde du président de la HAC: le SG du SPPG n’y voit aucune manœuvre de musellement de la presse
Boubacar Yacine Diallo, président de la Haute Autorité de la Communication (HAC), a interpellé pour une énième fois les journalistes à prendre leurs responsabilités en évitant les dérapages dans des émissions qu’ils animent.
En réaction à cette sortie qui sonne l’alerte dans les rédactions, Sékou Jamal Pendessa rassure qu’aucune sale idée n’est cachée derrière celle-ci.
Le premier responsable du SPPG promet d’être aux côtés des journalistes, quoi qu’il arrive.
« Il faut dire que dans un premier temps, beaucoup étaient inquiets au sein de la corporation après l’alerte lancée par le FNDC, pour dire que la presse est la nouvelle cible de la junte militaire, qui voudrait passer par le président de la HAC pour mêler les médias. Donc, cela s’en est suivi de l’interview du président de la HAC. Ce qui reste clair, nous avons fait un travail de fond pour avoir quelque chose au près des sources très sûres au niveau de la HAC. On nous dit que non le président n’a aucun projet de musellement des médias, il faut rassurer les journalistes. Bon, on dit encore aux syndicats que la sortie du président visait simplement à interpeller les journalistes sur leurs responsabilités pour leurs propres intérêts. Il n’y a aucune idée cachée derrière cela. Si c’est ça, nous sommes tous d’accord qu’il n’est pas interdit d’interpeller les médias sur leurs responsabilités. Il faut à tout moment rappeler parce que nous sommes des humains et chacun de nous peut oublier. Si c’est ça l’objectif de sa sortie, on a aucune récrimination à faire. Maintenant au niveau du syndicat, s’il y a d’autres idées peut-être portées par d’autres personnes qui voudraient se cacher derrière l’interview du président ou derrière même le fonctionnement de la HAC pour museler les médias, mais le syndicat est là et nous sommes prêts à tout moment, tout le temps vigilants. Nous veillons de près, donc il n’y a pas de soucis et c’est pourquoi nous avons jugé nécessaire de rassurer les journalistes ».
Boubacar Yacine Diallo, président de la Haute Autorité de la Communication (HAC), a interpellé pour une énième fois les journalistes à prendre leurs responsabilités en évitant les dérapages dans des émissions qu’ils animent.
En réaction à cette sortie qui sonne l’alerte dans les rédactions, Sékou Jamal Pendessa rassure qu’aucune sale idée n’est cachée derrière celle-ci.
Le premier responsable du SPPG promet d’être aux côtés des journalistes, quoi qu’il arrive.
« Il faut dire que dans un premier temps, beaucoup étaient inquiets au sein de la corporation après l’alerte lancée par le FNDC, pour dire que la presse est la nouvelle cible de la junte militaire, qui voudrait passer par le président de la HAC pour mêler les médias. Donc, cela s’en est suivi de l’interview du président de la HAC. Ce qui reste clair, nous avons fait un travail de fond pour avoir quelque chose au près des sources très sûres au niveau de la HAC. On nous dit que non le président n’a aucun projet de musellement des médias, il faut rassurer les journalistes. Bon, on dit encore aux syndicats que la sortie du président visait simplement à interpeller les journalistes sur leurs responsabilités pour leurs propres intérêts. Il n’y a aucune idée cachée derrière cela. Si c’est ça, nous sommes tous d’accord qu’il n’est pas interdit d’interpeller les médias sur leurs responsabilités. Il faut à tout moment rappeler parce que nous sommes des humains et chacun de nous peut oublier. Si c’est ça l’objectif de sa sortie, on a aucune récrimination à faire. Maintenant au niveau du syndicat, s’il y a d’autres idées peut-être portées par d’autres personnes qui voudraient se cacher derrière l’interview du président ou derrière même le fonctionnement de la HAC pour museler les médias, mais le syndicat est là et nous sommes prêts à tout moment, tout le temps vigilants. Nous veillons de près, donc il n’y a pas de soucis et c’est pourquoi nous avons jugé nécessaire de rassurer les journalistes », a fait savoir le leader syndical dans un échange téléphonique avec nos confrères de Mosaiqueguinee, le mardi 2 août.
Aboubacar Bangoura