Fameuses sanctions contre le PrAC par le Trésor américain : les dernières cabales de l’impérialisme contre le panafricaniste et souverainiste guinéen !
Le crachat d’un crapaud pourrait-il entaché la blancheur d’une colombe ? Les américains qui étaient au chevet de l’ancien Président guinéen pendant les onze (11) ans de son pouvoir, ce sont les mêmes qui racontent autre chose aujourd’hui ? Quel monde sommes-nous ?
Les suppôts des adversaires devenus ennemis de notre PrAC national, peuvent produire un milliard de tels rapports indignes d’un Etat sérieux qui se respecte invariablement, cela ne fera absolument rien à l’ancien Président guinéen. Nous regrettons le complot ourdi contre lui et qui chaque fois nous révèle la profondeur de l’encerclement et de la haine viscérale nourrie contre l’homme.
En effet, les mesures à géométrie variable du Trésor américain contre notamment le Professeur Alpha CONDE, prouvent une fois de plus combien de fois les autorités américaines sont partiales dans leur prise de décisions. Qu’est-ce que ce même Trésor a fait tout récemment quand une centaine de manifestants a été assassinée au Tchad ? Qu’’est-ce qu’il a fait contre les dirigeants de N’Djamena concernant les violations des droits de l’homme dans ce pays ? Quelle est la seule autorité tchadienne qui s’est retrouvée sur cette liste controversée ?
Non ! Les Etats-Unis ne sont pas du tout un bon exemple de pays en matière de respect des droits de l’homme. Pour preuve, le pays de l’Oncle Sam envahit quotidiennement des peuples et leur impose son dicktat. Depuis la chute de Mouammar Kadhafi du fait des américains et français, l’Etat libyen s’est effondré, les milices rivales se disputent le pouvoir, l’organisation Etat islamique a profité de la situation pour monter en puissance, le chaos s’est installé partout. Conséquences, tout le berceau de l’humanité est menacé aujourd’hui par le djihadisme et le terrorisme.
En Iraq, c’est tristement les mêmes réalités. Ce beau pays d’autrefois, n’est que l’ombre de lui-même aujourd’hui. Malheureusement, ni les autorités françaises ni les autorités américaines n’ont-été sanctionnées pour les crimes ignobles commis contre ces pays dont le seul désir était de rester eux-mêmes, d’être totalement indépendants de l’Occident.
En Côte d’Ivoire, il y a eu plus de 3000 morts, malheureusement personne n’est responsable de ces crimes au pays d’Houphouët Boigny. Le Président Laurent Gbago et son lieutenant de l’époque Charles Blé Goudé ont été innocentés après avoir passé plus de dix ans à la Cour Pénale Internationale (CPI). Le Président Alhassane Ouattara et Guillaume Soro n’ont jamais été inquiétés. Ces exactions post-électorales ivoiriennes de 2010 continuent encore de garder leurs secrets sur les principaux commanditaires de ces crimes odieux.
Les affrontements ayant suivi la réélection du Président Alhassane Ouattara en Côte d’Ivoire pour son troisième mandat, ont fait 85 morts et 484 blessés. Pourquoi le Trésor des Etats-Unis n’a-t-il pas pris les mêmes mesures contre le N° 1 ivoirien ?
Partout à travers le monde, quand un Etat se sent menacé dans son existence et son fondement par des individus, il se défend. L’assaut du Capitole des Etats-Unis le 6 janvier 2021 par des partisans de Donald Trump dans le contexte des contestations des résultats de l’élection présidentielle américaine de 2020, a été réprimé. Quatre manifestants ont été tués. Ce que nous ne comprenons pas, c’est le fait que les autorités américaines et françaises imposent aux autres dirigeants du monde ce qu’elles n’admettent pas chez elles.
En réalité, le seul crime du PrAC, si c’en est un bien sûr, c’est le fait d’avoir dit haut et fort, lors de la deuxième conférence internationale sur l’émergence en Côte d’Ivoire, le 28 mars 2017, de « couper le cordon ombilical avec le France ». Aussi, le soutien par le PrAC de l’idée d’organisation d’un sommet Russie-Afrique n’a pas été du tout digéré par les anciens colonisateurs qui voyaient en cette organisation une menace de leurs intérêts par le Kremlin en Afrique. En clair, l’ancien Président guinéen continue d’être victime de son panafricanisme sincère et affiché.
Pourquoi les autorités de la Guinée Bissau, de la Guinée Equatoriale, du Tchad, de la RDC, du Cameroun entre autres, considérés comme étant parmi les plus corrompus de l’Afrique, ne se retrouvent-elles pas sur cette liste ?
L’opinion nationale et internationale aurait mieux compris cette position du Trésor des Etats-Unis contre le PrAC et autres, s’il avait sanctionné de la même manière les autorités américaines et françaises qui ont donné l’ordre d’attaquer la Lybie et l’Iraq par exemple, où plusieurs innocentes personnes ont perdu la vie, plusieurs violations des droits de l’homme ont été commises.
Malgré le régime de terreur qu’il avait été mis en place dans son pays, l’ancien Président dictateur chilien Augusto Pinochet a été longtemps protégé par les Etats-Unis de 1973 à 2006. L’ancien Président congolais Mubutu Sese Seko a aussi été soutenu contre son peuple par ces puissances occidentales et américaines, notamment les Etats-Unis. C’est à la dernière minute qu’elles l’ont lâché, après avoir ruiné son pays.
Pourquoi toujours tant d’acharnement contre le Professeur Alpha CONDE après son éviction ? Ces sanctions ne suffisent-elles pas pour parler de la complicité des mêmes puissances impérialistes dans l’affaire du 5 septembre 2021 ? Beaucoup estiment aujourd’hui que ces sanctions contre l’ancien Président guinéen, c’est parce que des bruits ont couru à un moment donné que ce dernier se préparerait pour être candidat lors de la présidentielle à venir. Une manière de lui couper l’herbe sous les pieds.
Est-ce le dernier coup meurtrier contre le combattant de la fierté de l’homme noir et panafricaniste donné par une géopolitique dont les théâtres d’opérations ont essaimé ces derniers temps ? L’histoire jugera !
Sayon MARA, Juriste
Fameuses sanctions contre le PrAC par le Trésor américain : les dernières cabales de l’impérialisme contre le panafricaniste et souverainiste guinéen !
Le crachat d’un crapaud pourrait-il entaché la blancheur d’une colombe ? Les américains qui étaient au chevet de l’ancien Président guinéen pendant les onze (11) ans de son pouvoir, ce sont les mêmes qui racontent autre chose aujourd’hui ? Quel monde sommes-nous ?
Les suppôts des adversaires devenus ennemis de notre PrAC national, peuvent produire un milliard de tels rapports indignes d’un Etat sérieux qui se respecte invariablement, cela ne fera absolument rien à l’ancien Président guinéen. Nous regrettons le complot ourdi contre lui et qui chaque fois nous révèle la profondeur de l’encerclement et de la haine viscérale nourrie contre l’homme.
En effet, les mesures à géométrie variable du Trésor américain contre notamment le Professeur Alpha CONDE, prouvent une fois de plus combien de fois les autorités américaines sont partiales dans leur prise de décisions. Qu’est-ce que ce même Trésor a fait tout récemment quand une centaine de manifestants a été assassinée au Tchad ? Qu’’est-ce qu’il a fait contre les dirigeants de N’Djamena concernant les violations des droits de l’homme dans ce pays ? Quelle est la seule autorité tchadienne qui s’est retrouvée sur cette liste controversée ?
Non ! Les Etats-Unis ne sont pas du tout un bon exemple de pays en matière de respect des droits de l’homme. Pour preuve, le pays de l’Oncle Sam envahit quotidiennement des peuples et leur impose son dicktat. Depuis la chute de Mouammar Kadhafi du fait des américains et français, l’Etat libyen s’est effondré, les milices rivales se disputent le pouvoir, l’organisation Etat islamique a profité de la situation pour monter en puissance, le chaos s’est installé partout. Conséquences, tout le berceau de l’humanité est menacé aujourd’hui par le djihadisme et le terrorisme.
En Iraq, c’est tristement les mêmes réalités. Ce beau pays d’autrefois, n’est que l’ombre de lui-même aujourd’hui. Malheureusement, ni les autorités françaises ni les autorités américaines n’ont-été sanctionnées pour les crimes ignobles commis contre ces pays dont le seul désir était de rester eux-mêmes, d’être totalement indépendants de l’Occident.
En Côte d’Ivoire, il y a eu plus de 3000 morts, malheureusement personne n’est responsable de ces crimes au pays d’Houphouët Boigny. Le Président Laurent Gbago et son lieutenant de l’époque Charles Blé Goudé ont été innocentés après avoir passé plus de dix ans à la Cour Pénale Internationale (CPI). Le Président Alhassane Ouattara et Guillaume Soro n’ont jamais été inquiétés. Ces exactions post-électorales ivoiriennes de 2010 continuent encore de garder leurs secrets sur les principaux commanditaires de ces crimes odieux.
Les affrontements ayant suivi la réélection du Président Alhassane Ouattara en Côte d’Ivoire pour son troisième mandat, ont fait 85 morts et 484 blessés. Pourquoi le Trésor des Etats-Unis n’a-t-il pas pris les mêmes mesures contre le N° 1 ivoirien ?
Partout à travers le monde, quand un Etat se sent menacé dans son existence et son fondement par des individus, il se défend. L’assaut du Capitole des Etats-Unis le 6 janvier 2021 par des partisans de Donald Trump dans le contexte des contestations des résultats de l’élection présidentielle américaine de 2020, a été réprimé. Quatre manifestants ont été tués. Ce que nous ne comprenons pas, c’est le fait que les autorités américaines et françaises imposent aux autres dirigeants du monde ce qu’elles n’admettent pas chez elles.
En réalité, le seul crime du PrAC, si c’en est un bien sûr, c’est le fait d’avoir dit haut et fort, lors de la deuxième conférence internationale sur l’émergence en Côte d’Ivoire, le 28 mars 2017, de « couper le cordon ombilical avec le France ». Aussi, le soutien par le PrAC de l’idée d’organisation d’un sommet Russie-Afrique n’a pas été du tout digéré par les anciens colonisateurs qui voyaient en cette organisation une menace de leurs intérêts par le Kremlin en Afrique. En clair, l’ancien Président guinéen continue d’être victime de son panafricanisme sincère et affiché.
Pourquoi les autorités de la Guinée Bissau, de la Guinée Equatoriale, du Tchad, de la RDC, du Cameroun entre autres, considérés comme étant parmi les plus corrompus de l’Afrique, ne se retrouvent-elles pas sur cette liste ?
L’opinion nationale et internationale aurait mieux compris cette position du Trésor des Etats-Unis contre le PrAC et autres, s’il avait sanctionné de la même manière les autorités américaines et françaises qui ont donné l’ordre d’attaquer la Lybie et l’Iraq par exemple, où plusieurs innocentes personnes ont perdu la vie, plusieurs violations des droits de l’homme ont été commises.
Malgré le régime de terreur qu’il avait été mis en place dans son pays, l’ancien Président dictateur chilien Augusto Pinochet a été longtemps protégé par les Etats-Unis de 1973 à 2006. L’ancien Président congolais Mubutu Sese Seko a aussi été soutenu contre son peuple par ces puissances occidentales et américaines, notamment les Etats-Unis. C’est à la dernière minute qu’elles l’ont lâché, après avoir ruiné son pays.
Pourquoi toujours tant d’acharnement contre le Professeur Alpha CONDE après son éviction ? Ces sanctions ne suffisent-elles pas pour parler de la complicité des mêmes puissances impérialistes dans l’affaire du 5 septembre 2021 ? Beaucoup estiment aujourd’hui que ces sanctions contre l’ancien Président guinéen, c’est parce que des bruits ont couru à un moment donné que ce dernier se préparerait pour être candidat lors de la présidentielle à venir. Une manière de lui couper l’herbe sous les pieds.
Est-ce le dernier coup meurtrier contre le combattant de la fierté de l’homme noir et panafricaniste donné par une géopolitique dont les théâtres d’opérations ont essaimé ces derniers temps ? L’histoire jugera !
Sayon MARA, Juriste