“La République de GNAGBA”, découvrez le nouveau roman du jeune écrivain, Aboubacar 3 Soumah

Le monde de la littérature s’agrandit et la nouvelle génération se taille de la place du jour au lendemain. “La République de GNAGBA”, c’est le nouveau roman de l’auteur Aboubacar 3 Soumah paru dans la maison d’édition “les plumes inspirées”. Cet ouvrage de 115 pages est réparti en six (6) chapitres et aborde les questions découlant de la pratique de la démocratie en Afrique, particulièrement en République de Guinée. Dans ce roman, l’auteur fait appel à des personnes qui pratiquent la politique sans aucune conviction avec tous les risques que cela peut répercuter sur la population. Selon Aboubacar 3 Soumah, mettre sa connaissance au service du peuple était une ambition tant souhaitée.

 « Depuis tout petit je rêvais d’écrire, je me rappelle même dans les classes de 10ème année, on m’appelait Camara Laye, et c’est à partir de la 12ème année quand j’ai commencé les cours de la littérature, que j’ai eu maintenant à écrire cette œuvre depuis 2008…D’abord le nom Gnagba ce n’est pas un nom français, c’est un nom issu de nos langues nationales (Soussou et Malinké) qui veut dire souffrance, et qui dit souffrance, dit misère. La particularité dans cette œuvre est que tout le monde est dans Gnagba », explique-t-il.

La République de Gnagba, est un roman qui aborde plusieurs thématiques axées sur le développement sociopolitique de la Guinée. Le personnage principal, Kègnèkoma,  incarne la vie des personnes qui voient la politique comme une vraie réalité, alors qu’elle n’est qu’un jeu d’intérêts.

 « Ce roman est réparti en 6 chapitres. Et les thèmes abordés sont ceux que nous vivons tous les jours. Le thème phare est comment la démocratie est pratiquée dans les pays Africains, et plus particulièrement dans la république de Gnagba, et aussi il ya un pan qui est consacré à une transition dans cette œuvre. Mais de l’autre côté aussi, il y’a un pan qui est aussi consacré au retour à l’ordre constitutionnel, et cela se passe dans des conditions vraiment alarmantes, car la démocratie africaine est autre chose que nous pensons. Mais ça parle aussi sur l’ethnocentrisme, la division pour des raisons d’intérêts, la gabegie et tout autre chose », a-t-il énuméré.

Comme on aime le dire, le succès c’est tomber sept fois, se relever huit. Édité, cette œuvre n’a pas été du beurre à couper pour son auteur. C’est pourquoi il invite l’Etat à faciliter le parcours pour les écrivains.

 « Etant jeune, l’inspiration aussi n’était pas à ce niveau, j’étais des fois bloquée, mais par contre mes conseils disaient aussi que ça n’allait pas aboutir. Mais si on ne lâche pas, on arrive toujours au bout du tunnel. Donc après avoir écrit c’était en manuscrit il fallait saisir aussi, vu la situation de notre pays, je suis parti à l’harmattan Guinée, le document a fait là-bas plus d’une année, et après avoir tenté le prix découvert Rfi qui m’a d’ailleurs motivé, je suis tombé sur “les plumes inspirées”», raconte t-il.

Un grand voyage commence toujours par un premier pas. Ce roman, “la République de GNAGBA”, n’est que le début de la carrière d’écrivain  d’Aboubacar 3 Soumah. En attendant sa dédicace, le professeur d’éducation civique et morale invite tous les lecteurs à s’intéresser à ce livre qui existe aujourd’hui en version papier et électronique dont le prix est abordable. Il annonce que d’autres œuvres sont sous ses plumes et seront dévoilées les jours à venir.

“La République de GNAGBA”, découvrez le nouveau roman du jeune écrivain, Aboubacar 3 Soumah

Le monde de la littérature s’agrandit et la nouvelle génération se taille de la place du jour au lendemain. “La République de GNAGBA”, c’est le nouveau roman de l’auteur Aboubacar 3 Soumah paru dans la maison d’édition “les plumes inspirées”. Cet ouvrage de 115 pages est réparti en six (6) chapitres et aborde les questions découlant de la pratique de la démocratie en Afrique, particulièrement en République de Guinée. Dans ce roman, l’auteur fait appel à des personnes qui pratiquent la politique sans aucune conviction avec tous les risques que cela peut répercuter sur la population. Selon Aboubacar 3 Soumah, mettre sa connaissance au service du peuple était une ambition tant souhaitée.

 « Depuis tout petit je rêvais d’écrire, je me rappelle même dans les classes de 10ème année, on m’appelait Camara Laye, et c’est à partir de la 12ème année quand j’ai commencé les cours de la littérature, que j’ai eu maintenant à écrire cette œuvre depuis 2008…D’abord le nom Gnagba ce n’est pas un nom français, c’est un nom issu de nos langues nationales (Soussou et Malinké) qui veut dire souffrance, et qui dit souffrance, dit misère. La particularité dans cette œuvre est que tout le monde est dans Gnagba », explique-t-il.

La République de Gnagba, est un roman qui aborde plusieurs thématiques axées sur le développement sociopolitique de la Guinée. Le personnage principal, Kègnèkoma,  incarne la vie des personnes qui voient la politique comme une vraie réalité, alors qu’elle n’est qu’un jeu d’intérêts.

 « Ce roman est réparti en 6 chapitres. Et les thèmes abordés sont ceux que nous vivons tous les jours. Le thème phare est comment la démocratie est pratiquée dans les pays Africains, et plus particulièrement dans la république de Gnagba, et aussi il ya un pan qui est consacré à une transition dans cette œuvre. Mais de l’autre côté aussi, il y’a un pan qui est aussi consacré au retour à l’ordre constitutionnel, et cela se passe dans des conditions vraiment alarmantes, car la démocratie africaine est autre chose que nous pensons. Mais ça parle aussi sur l’ethnocentrisme, la division pour des raisons d’intérêts, la gabegie et tout autre chose », a-t-il énuméré.

Comme on aime le dire, le succès c’est tomber sept fois, se relever huit. Édité, cette œuvre n’a pas été du beurre à couper pour son auteur. C’est pourquoi il invite l’Etat à faciliter le parcours pour les écrivains.

 « Etant jeune, l’inspiration aussi n’était pas à ce niveau, j’étais des fois bloquée, mais par contre mes conseils disaient aussi que ça n’allait pas aboutir. Mais si on ne lâche pas, on arrive toujours au bout du tunnel. Donc après avoir écrit c’était en manuscrit il fallait saisir aussi, vu la situation de notre pays, je suis parti à l’harmattan Guinée, le document a fait là-bas plus d’une année, et après avoir tenté le prix découvert Rfi qui m’a d’ailleurs motivé, je suis tombé sur “les plumes inspirées”», raconte t-il.

Un grand voyage commence toujours par un premier pas. Ce roman, “la République de GNAGBA”, n’est que le début de la carrière d’écrivain  d’Aboubacar 3 Soumah. En attendant sa dédicace, le professeur d’éducation civique et morale invite tous les lecteurs à s’intéresser à ce livre qui existe aujourd’hui en version papier et électronique dont le prix est abordable. Il annonce que d’autres œuvres sont sous ses plumes et seront dévoilées les jours à venir.