Secteur des jeux : l’ARSJPA dans la dynamique de la refondation et de la transparence (Par Kany Cécile Sow)
De l’avis de tous les observateurs avertis, depuis la mise en place de l’Autorité de Régulation du Secteur des Jeux et Pratiques Assimilées ( ARSJPA) par les nouvelles autorités en tête le Président de la République Colonel Mamadi DOUMBOUYA, les choses sont en train de changer positivement dans ce secteur vital pour l’Etat Guinéen.
C’est une entité de l’Etat qui, à n’en pas douter, est totalement dans la dynamique de la refondation, des réformes, de la transparence et de la sécurisation des recettes aussi bien dans l’intérêt des parieurs que celui de l’État qui a besoin des poches de recettes pour faire face à ses obligations.
Pour continuer à mener sa mission à la satisfaction générale, l’ARSJPA, sous la conduite éclairée de M. Mamadou CISSE, ne s’est pas posé mille et une questions pour aller en guerre contre les sociétés qui se plaisent à pratiquer les jeux en ligne en violation des dispositions contractuelles ou qui s’illustrent négativement dans les jeux illégaux. Ce qui fait perdre à l’État beaucoup d’argent. C’est pour donc pallier cet état de fait qu’un accord a été signé entre l’ARSJPA et l’ARPT, pour contrôler systématiquement les sociétés des jeux en ligne en temps réel.
Ce qui, évidemment, ne fait pas que des heureux mais la nécessité de lutter contre la fraude sous toutes ses formes s’impose, comme le recommande vivement le président du CNRD, Président de la République, Chef de l’État, chef suprême des Armées, le Colonel patriote Mamadi DOUMBOUYA.
L’ARSJPA exige par conséquent des sociétés le paiement de la licence par segment. Les 80% du montant vont au Trésor public et les 20% pour soutenir les activités socioculturelles, sportives et le développement local. Selon des sources bien informées, le Trésor public, qui a encaissé plus de redevances depuis le 30 juin 2023 par rapport à l’année 2022, est très satisfait du travail abattu par la direction de l’ARSJPA. La réglementation se fait dorénavant avec des méthodes qui évitent au pays la fuite des capitaux.
Aucune société des jeux ne doit être détenue à 100% par des étrangers. Toute société de jeux est dans l’obligation d’accorder au minimum 25% du capital aux nationaux, conformément au cahier des charges élaboré à cet effet. Un contrôle rigoureux se fait sur la fiabilité des actionnaires et les garanties bancaires sont exigées désormais. L’État Guinéen qui était brimé pendant des années dans le cadre des jeux et pratiques assimilées, peut se frotter les mains grâce à la volonté du Président de la République, le Colonel Mamadi DOUMBOUYA qui a eu la bonne idée de créer l’ARSJPA dont la direction générale lui donne entièrement satisfaction aujourd’hui.
Dans une souci de garantir une concurrence saine dans le secteur, de nouvelles conditions d’exploitation ont été adoptées par l’ARSJPA en accord avec la Direction Générale du Trésor.
Par Kany Cécile SOW